mardi 22 avril 2008

Dans quel Utah es-tu?

Après avoir vidé ses poches et ses valeurs mobilières à Las Végas...Ashley a troqué ses robes de soirée indispensables pour claquer son fric au casino, pour la robe de bure des amis mormons..Ca ne rigole plus, pas de fantaisie, pas de larges décolletés, pas un centimétre carré de peau à nu, on baisse la tête, c'est la rigueur morale... ( question: comment a-t-elle pu garder son sérieux? mais elle est respectueuse des convenances et des bonnes manières, en plus elle est ascendant caméléon).
Depuis elle est partie voir un certain Monsieur Bryce Canyon, je ne savais pas qu'elle avait un ami chez les mormons...
Ce doit être quelqu'un qui vit dans un endroit très reculé et pas facile d'accès... Pour aller rencontrer ce Mr Canyon, elle se la pète façon Indiana Jones: je décris: rangers, pantalons trois quart, sac à dos , casquette de commando, lunettes ray ban. Sur un photo on la voit sauter au dessus d'une crevasse de 2 mètres au moins... ( presque) dans un paysage à couper le souffle .
(Il a quelque chose d'accroché à son sac à dos on dirait un parachute...à confirmer.
Voilà , en tout cas je pense qu'elle séclate vraiiment

vendredi 18 avril 2008

du désert à l'enfer

Acte 1 Ashley dans le désert.
Le désert est une région qui demandent des qualités sportives à qui veut le savourer... Ashley se sent parfaitement dans son élément dans le désert...Sac sur le dos, bâton anti snake à la main, chapeau méxicain sur le têtiau, gourde à la ceinture, GPS en alerte, elle a arpenté le magnifique désert, ses ravissants petits petons s'en souviennent encore.
La nuit le bivouac est de rigueur, et tandis qu'une sentinelle veille sur le feu qui protège des rapaces et des serpents, les autres essayent de dormir ...
La soif tenaille, alors on coupe des pousses d'aloës ou de cactus pour s'abreuver. Ils ont même essayé de faire de la téquila à partir des végétaux locaux... mais l'alambic était en panne.
Mais tous ces efforts, ces suées, ces peurs sont compensés par l'émerveillement des yeux, la poésie des panoramas, la joie d'être allé au bout de soi-même.
Bien sûr il faut pousser la voiture quand on a oublié de faire le plein, il faut tendre des lacets pour pouvoir attraper une bestiole commestible: chien de prairie, snake, lézard etc..Mais c'est bon d'être une aventurière.
Mais bientôt, le Colorado avec ses canyons arpentés en mustangs ( à 4 pattes) le rafting dans les gorges du Grand Canyon, le soleil brûlant du désert, seront loin, il faut quitter l'immensité pour se replonger dans la civilisation, la Vraie: LAS VEGAS.
ACTE 2 L'ENFER
Le désert, c'était dur, Las Végas c'est l'enfer, le vrai.
Il est temps de quitter ses habits accrocchés par les épines, salis par des nuits à même le sol, poussiereux, pour enfin prendre une douche, retrouver la civilisation.
Enfin Ashley a pu retrouver de la bonne nourriture américaine qu'elle n'avait su trouver dans le désert, ça y est Maquedolnald est là, enfin un bon repas. Quel bonheur, quelle ivresse !
Et puis c'est l'enfer du jeu.
Bandits manchots, roulette, chemin de fer, poker, Ashley est prise de frénésie, elle doit gagner, elle va gagner , elle va faire sauter la banque, c'est certain. Elle se jette à corps perdu et actuellement, elle tente de se refaire, elle a presque tout perdu... Nous en sommes là. ( roulement de tambours) suite au prochain numéro.

Note de la rédaction.
Ce message est une oeuvre purement fictive, sans aucun rapport avec la réalité. Les Etats Unis étant un pays émergent, le WiFi n'est pas parvenu au fond des contrées lointaines, les mails sont donc rares. Soyons positifs, tout semble se passer très bien et après avoir connu une première semaine pleine de souvenirs enchanteurs, elle est effectivement à Las Végas...
Il est temps qu'elle revienne, car elle me donne trop de travail pour vous narrer ses aventures.
Et merci à ceux et celles qui veulent encore que je fête avec eux mon non-anniversaire.

mardi 15 avril 2008

Anniversaire- désert

Tout d'abord merci à ceux et celles qui m'ont souhaité un joyeux annivesaire,bien sûr ma fifiile avait passé les consignes, mais vos commentaires me sont allés droit au coeur. J'ai été très heureux d'apprendre que j'avais 35, 40 ans...mais tous vous avez oublié les mois de nourrice.

Qu'il me suffise de dire que je change de dizaine, à 10 ans c'est rogolo, à 90 c'est ca craint...

Enfin avec Maman Abott on va fêter ca ignement.. et on recommancera quand toute la tribu sera rassemblée.

Maintenant, à la demande générale, des nouvelles de la fifille...

D'abord, elle est partie, mais non sans peine.Enfin le train train des voyages...Changement d'avion et de compagnie à la dernière minute, attérissage à New York au lieu de Chicago,mais tout va bien. L'attente à New York qui fut longue , lui a permis de se faire de nombreuses copines parmi des mamies qui étaient elles aussi en attente...( du moment qu'elle ait pu parler...)

Puis il y eut les retourvailles avec ses compagnons de voyage...et ils sont partis " on the road again" Ils sont partis dans le désert arinonesque.

Les nouvelles nous arrivent chaque jour quand Madame WiFi le permet... Les voilà partis vers le Grand Canyon, pour 2 jours, étant donné son sens de l'observation et de sa faculté à ne jamais se perdre, ils ne devraient pas errer pendant des jours et des jours avant d'en trouver la sortie.

Voilà, les dernières nouvelles, je sais qu'elle s'ennuie de ses copines bloguesques.

Avec le courage qui me caractérise, je vais reprendre le chemin de ce blog de temps à autre.

à bientôt

dimanche 6 janvier 2008

Mort aux c...s

Etrange titre, Mort aux cons...
Pour Noêl on m'a offert un roman, unn premier roman d'ailleurs de Carl Aderhold...
Quand on offre un bouquin avec un tel titre on se pose la question: "Quel est le message subliminal?"
La question se fait encore plus angoissante quand Mme Abott la donatrice vous dit tout simplement"en lisant la page 4 de couverture, j'ai lu : qui n' a jamais rêvé de tuer son mari le dimanche matin quand il vous reveille à coups de perçeuse." c'est ce qui m'a accroché..."
Pauvre de moi! en fait il s'agissait de voisin que l'on rêvait de zigouiller. Lapsus ou expression du subconscient?
Que se passe-t-il?
Mais quand on vous offre un tel livre on se pose des questions:
Suis-je vraiment celui qui mérite la mort?
Dois-je me mettre au travail pour éradiquer tous les C...s qui m'entourent?
Il y en a t-il tant que cela?
Et si on les élimine tous, restera-t-il des humains sur terre?
Autant de questions métaphysiques à élucider.
Je me suis donc lancé dans la lecture de ce livre au titre aguicheur.
Il ne mérite pas le Goncourt... mais se lit assez bien...
C'est la belle vie de quelqu'un qui se prend pour le vengeur masqué et qui va trucider en toute impunité 140 personnes qu'il considère comme des cons...
Bien sur il y a de la graduation dans le dégré de connerie qui va crescendo jusqu'à la fin du livre.
Mais les descriptions de ce genre d'individus sont diverses et avariées. Et on pourrait en ajouter d'autres...
L'homme pourchassé et à détruire est en fait celui qui me gêne, qui est différent de moi, ou qui me fait de l'ombre, c'est aussi le parfait imbécile, ou celui qui simplement a fini de m'amuser ou qui me fatigue.
Mais en fait le destructeur de cons le devient plus que ceux qu'il a fait disparaître.
En fait on est toujours le con de quelqu'un et en chacun il ya cet instinct meutrier...
Pour ceux qui se hasarderaient à lire ce livre, je ne dévoilerai pas la fin. Un petit roman sans génie, mais qui peut amuser et éclairer nos motivations profondes.
Pour conclure j'aurais envie de reprendre une phrase clef qu'avec une bande de copains( quand nous étions jeunes et beaux à la fois) nous avions l'habitude de crier à ceux qui nous cherchaient des poux dans la tête ou qui nous agacaient" Mort aux cons et vive Jésus" ( je n'ai jamais su pourquoi on ajoutait vive Jésus, ce devait être drôle)
Bonne année à tous, et à ceux qui m'on mis un commentaire malgré mes longs temps de silence.