mardi 22 avril 2008

Dans quel Utah es-tu?

Après avoir vidé ses poches et ses valeurs mobilières à Las Végas...Ashley a troqué ses robes de soirée indispensables pour claquer son fric au casino, pour la robe de bure des amis mormons..Ca ne rigole plus, pas de fantaisie, pas de larges décolletés, pas un centimétre carré de peau à nu, on baisse la tête, c'est la rigueur morale... ( question: comment a-t-elle pu garder son sérieux? mais elle est respectueuse des convenances et des bonnes manières, en plus elle est ascendant caméléon).
Depuis elle est partie voir un certain Monsieur Bryce Canyon, je ne savais pas qu'elle avait un ami chez les mormons...
Ce doit être quelqu'un qui vit dans un endroit très reculé et pas facile d'accès... Pour aller rencontrer ce Mr Canyon, elle se la pète façon Indiana Jones: je décris: rangers, pantalons trois quart, sac à dos , casquette de commando, lunettes ray ban. Sur un photo on la voit sauter au dessus d'une crevasse de 2 mètres au moins... ( presque) dans un paysage à couper le souffle .
(Il a quelque chose d'accroché à son sac à dos on dirait un parachute...à confirmer.
Voilà , en tout cas je pense qu'elle séclate vraiiment

vendredi 18 avril 2008

du désert à l'enfer

Acte 1 Ashley dans le désert.
Le désert est une région qui demandent des qualités sportives à qui veut le savourer... Ashley se sent parfaitement dans son élément dans le désert...Sac sur le dos, bâton anti snake à la main, chapeau méxicain sur le têtiau, gourde à la ceinture, GPS en alerte, elle a arpenté le magnifique désert, ses ravissants petits petons s'en souviennent encore.
La nuit le bivouac est de rigueur, et tandis qu'une sentinelle veille sur le feu qui protège des rapaces et des serpents, les autres essayent de dormir ...
La soif tenaille, alors on coupe des pousses d'aloës ou de cactus pour s'abreuver. Ils ont même essayé de faire de la téquila à partir des végétaux locaux... mais l'alambic était en panne.
Mais tous ces efforts, ces suées, ces peurs sont compensés par l'émerveillement des yeux, la poésie des panoramas, la joie d'être allé au bout de soi-même.
Bien sûr il faut pousser la voiture quand on a oublié de faire le plein, il faut tendre des lacets pour pouvoir attraper une bestiole commestible: chien de prairie, snake, lézard etc..Mais c'est bon d'être une aventurière.
Mais bientôt, le Colorado avec ses canyons arpentés en mustangs ( à 4 pattes) le rafting dans les gorges du Grand Canyon, le soleil brûlant du désert, seront loin, il faut quitter l'immensité pour se replonger dans la civilisation, la Vraie: LAS VEGAS.
ACTE 2 L'ENFER
Le désert, c'était dur, Las Végas c'est l'enfer, le vrai.
Il est temps de quitter ses habits accrocchés par les épines, salis par des nuits à même le sol, poussiereux, pour enfin prendre une douche, retrouver la civilisation.
Enfin Ashley a pu retrouver de la bonne nourriture américaine qu'elle n'avait su trouver dans le désert, ça y est Maquedolnald est là, enfin un bon repas. Quel bonheur, quelle ivresse !
Et puis c'est l'enfer du jeu.
Bandits manchots, roulette, chemin de fer, poker, Ashley est prise de frénésie, elle doit gagner, elle va gagner , elle va faire sauter la banque, c'est certain. Elle se jette à corps perdu et actuellement, elle tente de se refaire, elle a presque tout perdu... Nous en sommes là. ( roulement de tambours) suite au prochain numéro.

Note de la rédaction.
Ce message est une oeuvre purement fictive, sans aucun rapport avec la réalité. Les Etats Unis étant un pays émergent, le WiFi n'est pas parvenu au fond des contrées lointaines, les mails sont donc rares. Soyons positifs, tout semble se passer très bien et après avoir connu une première semaine pleine de souvenirs enchanteurs, elle est effectivement à Las Végas...
Il est temps qu'elle revienne, car elle me donne trop de travail pour vous narrer ses aventures.
Et merci à ceux et celles qui veulent encore que je fête avec eux mon non-anniversaire.

mardi 15 avril 2008

Anniversaire- désert

Tout d'abord merci à ceux et celles qui m'ont souhaité un joyeux annivesaire,bien sûr ma fifiile avait passé les consignes, mais vos commentaires me sont allés droit au coeur. J'ai été très heureux d'apprendre que j'avais 35, 40 ans...mais tous vous avez oublié les mois de nourrice.

Qu'il me suffise de dire que je change de dizaine, à 10 ans c'est rogolo, à 90 c'est ca craint...

Enfin avec Maman Abott on va fêter ca ignement.. et on recommancera quand toute la tribu sera rassemblée.

Maintenant, à la demande générale, des nouvelles de la fifille...

D'abord, elle est partie, mais non sans peine.Enfin le train train des voyages...Changement d'avion et de compagnie à la dernière minute, attérissage à New York au lieu de Chicago,mais tout va bien. L'attente à New York qui fut longue , lui a permis de se faire de nombreuses copines parmi des mamies qui étaient elles aussi en attente...( du moment qu'elle ait pu parler...)

Puis il y eut les retourvailles avec ses compagnons de voyage...et ils sont partis " on the road again" Ils sont partis dans le désert arinonesque.

Les nouvelles nous arrivent chaque jour quand Madame WiFi le permet... Les voilà partis vers le Grand Canyon, pour 2 jours, étant donné son sens de l'observation et de sa faculté à ne jamais se perdre, ils ne devraient pas errer pendant des jours et des jours avant d'en trouver la sortie.

Voilà, les dernières nouvelles, je sais qu'elle s'ennuie de ses copines bloguesques.

Avec le courage qui me caractérise, je vais reprendre le chemin de ce blog de temps à autre.

à bientôt

dimanche 6 janvier 2008

Mort aux c...s

Etrange titre, Mort aux cons...
Pour Noêl on m'a offert un roman, unn premier roman d'ailleurs de Carl Aderhold...
Quand on offre un bouquin avec un tel titre on se pose la question: "Quel est le message subliminal?"
La question se fait encore plus angoissante quand Mme Abott la donatrice vous dit tout simplement"en lisant la page 4 de couverture, j'ai lu : qui n' a jamais rêvé de tuer son mari le dimanche matin quand il vous reveille à coups de perçeuse." c'est ce qui m'a accroché..."
Pauvre de moi! en fait il s'agissait de voisin que l'on rêvait de zigouiller. Lapsus ou expression du subconscient?
Que se passe-t-il?
Mais quand on vous offre un tel livre on se pose des questions:
Suis-je vraiment celui qui mérite la mort?
Dois-je me mettre au travail pour éradiquer tous les C...s qui m'entourent?
Il y en a t-il tant que cela?
Et si on les élimine tous, restera-t-il des humains sur terre?
Autant de questions métaphysiques à élucider.
Je me suis donc lancé dans la lecture de ce livre au titre aguicheur.
Il ne mérite pas le Goncourt... mais se lit assez bien...
C'est la belle vie de quelqu'un qui se prend pour le vengeur masqué et qui va trucider en toute impunité 140 personnes qu'il considère comme des cons...
Bien sur il y a de la graduation dans le dégré de connerie qui va crescendo jusqu'à la fin du livre.
Mais les descriptions de ce genre d'individus sont diverses et avariées. Et on pourrait en ajouter d'autres...
L'homme pourchassé et à détruire est en fait celui qui me gêne, qui est différent de moi, ou qui me fait de l'ombre, c'est aussi le parfait imbécile, ou celui qui simplement a fini de m'amuser ou qui me fatigue.
Mais en fait le destructeur de cons le devient plus que ceux qu'il a fait disparaître.
En fait on est toujours le con de quelqu'un et en chacun il ya cet instinct meutrier...
Pour ceux qui se hasarderaient à lire ce livre, je ne dévoilerai pas la fin. Un petit roman sans génie, mais qui peut amuser et éclairer nos motivations profondes.
Pour conclure j'aurais envie de reprendre une phrase clef qu'avec une bande de copains( quand nous étions jeunes et beaux à la fois) nous avions l'habitude de crier à ceux qui nous cherchaient des poux dans la tête ou qui nous agacaient" Mort aux cons et vive Jésus" ( je n'ai jamais su pourquoi on ajoutait vive Jésus, ce devait être drôle)
Bonne année à tous, et à ceux qui m'on mis un commentaire malgré mes longs temps de silence.

mercredi 7 novembre 2007

En chansons...

Cette pauvre Ashley étant débordée, je me vois dans l'obligation de reprendre le flambeau qui ne sera qu'une misérable luciole en comparaison du phare qu'est Ashley.
En guise de divertissement, je vais vous narrer le vacances d'Ashley ... en chansons. Chansons d'hier, ce n'est pas forcément ce que elle, elle écoute sur son Ipod.
A l'arrivée sur le quai de la gare
" Les jolies colonies de vacances, merci papa, merci Maman"
En allant faire les courses:
" I am go in the markett, mon p'tit panier sous le bras"
" Ah si j'avais des milli millions"
Devant le port:
" Maman les p'tits bateaux qui vont sur l'eau"
"Dans le port des Sables, y ades marins .... et ça sent la saumure jusque dans le coeur des crêpes" ( pardon grand Jacques)
"ils sont partis pour des courses lointaines..."
A la plage on n'a pas pu échapper à:
" la mer qu'on voit danser"
" Sea, sex and sun"
" La mer sans arrêt roulait ses galets"
" le Mystérieux voyage " de son idole Chantal
" Aline"
Sur les rochers:
"A la pêche aux moules,moules, je n'veux plus aller Maman..."
Au zoo: ce fut l'apothéose... on a donné à Ashley 5 kilos de pop corn, je ne sais pas pourquoi, cependant quand nous nous arrêtions, une petite foule s'agglutinait autour de nous, car Ashley chantait devant les animaux, je tendais ma casquette et nous avons récolté 1 dollar, 10 centimes suisses, 2 francs CFA, 5 boutons, et le pop corn, pourtant le pop corn est destiné aux animaux... pas compris...
devant la cage aux Lions:
" Le lion est mort ce soir"
devant les signes:
" gare au gorille"
Devant les ursidés:
"Dans notre village autrefois un ours énorme dévastait le bois( içi cor de chasse, avec la bouche)
Dans l'enclos des biquettes: le clou du spectacle: Ashley au milieu de sa cour biquettine,chantait d'une voix chevrottante:
" Il était une chèvre de fort tempérament qui revenait d'Espagne et parlait allemand han."
Elle chantait le refrain en dansant tout en tenant sa main droite sous son menton pour mimer la barbichette,et sa main gauche sur son arrière train pour singer la queue de la biquette, voici la splendeur de ce refrain " Grignotant, ballotant, grignotant des dents et ballotant d'la queue euh!
Spectacle magnifique.
Chez sa tata:
"Viens chez moi, à la maison, y a du vin du sauscisson, des galettes à foison.
Tout au long de la journée:
"Le travail c'est la santé, rien faire c'est la conserver"
le soir au coucher du soleil:
" Quand il est mort le soleil.."
Quand a sonné l'heure du départ nous lui avons chanté:
" reste encore un peu" la dernière de Jenifer.

Il y a encore beaucoup d'autres chansons qu'Ashley a fredonnées, mais on ne peut pas en faire état de toutes... Elles ne sont pas disibles...et puis moi je ne retiens pas les chansons récentes, d'abord on ne comprend pas les paroles.
Bone journée à toutes et a tous

lundi 5 novembre 2007

Ashley en vacances.

Elle voyage:
D'abord en train, c'est son moyen de locomotion préféré...Que s'est-il passé avec la SNCF le jour de son arrivée sur le lieu de vacances? un miracle, par expérience je sais que la SNCF toujours prête à partir en retraite avant tout le monde est incapable de faire arriver un train à l'heure, du moins dans les gares de moindre importance... Et Ahsley est arrivée avec 2 minutes d' AVANCE... mais ça n'a pas duré, le retour fut plus rock en roll...45' de retard.... Youpi.
Elle se déplace en voiture également, elle conduit et même pas trop mal..., et quand elle ne conduit pas, elle dort...
Elle mange:
et de bon appétit, normal, mais attention pas n'importe quoi...du poisson, des crustacés, que des produits vraiment diététiques, comme le saucisson, les galettes de Tata Hélène, galettes complètes ( sarrazin, jambon, gruyère... confiture). Elle sait apprécier les bonnes choses.
Pour le dernier soir, elle nous a dégotté un petit resto sur le port de plaisance 'le P'tit Louis' tout a fait sympa, aux plats abondants... Nos voisins de la table d'a côté ont eu droit à une côte de boeuf de 500Grs, nous avons fait dans le poisson, mais n'avons pas été déçus..
C'est une excellente convive ... et que dire du repas préparé par sa grand mère en son honneur.
Elle boit aussi , un peu...adore le muscadet ( quand il n' a pas été lavé avec de l'eau....) le guignolet , maus tout cela avec modération bien sûr.
Elle marche:
C'est une grande marcheuse, elle trotte, et ensemble nous avons fait de magnifiques ballades sur les plages de sable fin et sur les chemin de douaniers. Pour revivre son enfance, elle a tenu à descendre sur les rochers, et à cavaler comme un cabri, se rappelant les escalades avec ses frères. J'ai décliné l'invitation, mais elle a entraîné dans sa chevauché " la mère" en mocassins. Je ne vous dis pas l'état des mocassins et de celle qui les portait.
Elle fait des courses
Là, j'ai zappé... elle a enfin trouvé dans une petite boutique ce qu'elle cherchait désespérément à Paris... Vive la province.... Les boutiques! une excellente occupation de vacances!!!
Elle visite les Zoos!
Quel plaisir pour elle que de visiter un zoo...faut la voit s'esbaudir devant les acrobaties des singes, engueuler la gente simiesque qui ne décollait pas son derrière et qui ne voulait pas faire des exibitions, admirer les lions et les jeux de 2 jeunes lionceaux, juger qu'un tigre était neurasthénique car il ne cessait de tourner en rond... réprimander les manchots gavés de sardines qui restaient agglutinés dans un coin, sans bouger. Mais le nec plus ulltra c'est son amour pour les biquettes, impossible de lui faire quitter leur enclos, seule la perspective de sentir le bouc l'a fait pousser la porte de sortie.
Elle dort,
Mais c'est son jardin secret, elle s'est très bien gérer cette occupation qui lui prend pas mal de temps, mais les vacances ne sont-ce pas des séances de rattrapage.
Elle a un grand ami
C'est Nicolas Hulot, tout était sujet à confronter notre vécu aux paroles ou aux voeux de ce monsieur à la chevelure si savemment mal coiffée..Elle m'a épaté... Le Grenelle l'a profondément marquée.
Bref ce fut de bonnes vacances...trop courtes

jeudi 25 octobre 2007

Homo retraitus

D'abord la mère a dit que je m'ennuyais quand elle était en réunion, c'est faux... ( sauf de s aprésence!!!) la suite vous le dira.
L'homo retraitus, est un individu qui est classé parmi les inactifs, les improductifs, les onéreux pour la CHECOU, les râleurs, des hommes à abattre quoi! Il faut travailler plus longtemps pour les vieux... et certains font la grève pour être vieux ...jeunes.
Moi , quand j'avais des cheveux, je voulais prendre ma retraite entre 35 et 45 ans.Je ne sais pas pourquoi, mais ça n'a pas marché, dommage.
Mais l'homo retraitus ne s'ennuie pas du tout...Il peut se taper une petite sieste tous les jours:
tu allumes la télé, tu regardes Derrick tu fais dodo un quart d'heure sur chaque oreille, et tu es tout neuf. Vous, dont les agendas débordent, dont la course ne s'arrête pas, dont les recherches vous bouffent les yeux, exigez de vos supérieurs une sieste obligatoire de 15 minutes, vous aurez la sensation d'être homo ou mulier retraitus (a) un quart d'heure par jour. Faites la sieste NDD.
l' homo retraitus a enfin le temps de lire... Jamais en activité je n'aurais pu m'envoyer les bienveillantes ou Détruisez la Vendée de Hassenet. Car il faut du calme, pour ingurgiter de tels ouvrages. ( De toutes manières, je n'aurais jamais pu le faire avec la présence de ma fille préférée qui telle un taon , n'aurait pas arrêté de "vezouner " autour de moi.... et aurait rendu toute concentration impossible).
L'homo retraitus adore aussi les mots croisés.. niveau 4 SVP
L'homo retraitus adore faire la cuisine, mais il a horreur de suivre une recette, car il est un peu et même beaucoup indépendant en tout. Il n'aime pas qu'on lui dicte une loi, tendance anarchisante libérale camouflée.
Hier à 14 heures ma douce me dit " GG dîne avec nous ce soir." GG c'est poisson et c'est tout.
Après la sieste direction Carouf . Crevettes marinées aneth et piment d'Espelette, et j'ai une idée si je faisais des coquilles st Jacques entourées de lard fumé à l'ananas, perso, je n'en ai jamais mangé, jamais vu... Je pars dans cette direction, une réussite parait-il, en tous cas, il n'est rien resté...J'ai oublié le dessert, mais c'est normal je ne suis pas dessert.
En fait l'homo retraitus adore les imprévus, et comme il a tout son temps il gère bien.
Ceci n'est qu'un partie de la vie d'un homo retraitus, le reste sera pour un communication ultérieure.
Bonne sieste braves gens, avec ou sans Derrick.

mercredi 24 octobre 2007

Ma fille Ashey

Aujourd'hui, ma très chère fille, vous pondâtes une note dans votre correspondance qui m'a profondément mortifié.
On avait déjà dit de moi qu'une personnalité qui venait d'arriver dans notre ville ressemblait à un gros paysan...et que j'en étais le sosie... ( je vous expliquerai) mais vous me faites passer pour un doux rêveur, avachi dans son fauteuil devant les étranges petites lucarnes, atteint déjà de la Maladie d'Alhzeimer...et franchouillard.
Que nenni.
J'ai compris beaucoup de choses...
1/ Il vaut mieux avoir l'air C.... que l'être , j'adore me faire ignorer tout en gardant un oeil attentif autour de ce qui se passe autour de moi. J'adore les coktails, non pour ce qu'on y déguste qui est souvent de qualité discutable, mais parce que tu peux rigoler dans ton coin...
Il y a ceux qui comme des paons pavanent, mais qui n'ont même pas de queue pour faire la roue,
Il y a ceux qui picolent en douce , mais qui cherchent toujours une relation pour s'envoyer un godet supplémentaire, sans passer pour un pochtron..
Il y a ceux qui sont attachés au buffet et qui ont reçu une consigne " gave-toi, ce soir, il n'y aura rien à manger à la maison, autant faire des économies".
Il y a ceux qui veulent toujours se trouver au plus près de la personnalité important, pour se montrer et faire croire qu'on est son meilleur ami, c'est pitoyable mais amusant.
Il y a ceux qui s'emm... comme moi et qui regardent et rigolent dans leur barbichette et qui n'ont qu'un envie se tirer...
2/ Rien ne vaut l'indépendance.
Indépendant de pensée, rien ne m'empêchera de dire que telle personne qui a telle responsabilité est un vrai C... J'ai le droit de dire ce que je pense...ca m'a valu des ennuis, mais ce n'est pas grave et je continuerai.
Indépendant aussi dans la vie de chaque jour " t'as vu tes chaussettes, c'est pas la bonne couleur"- "t'as vu comme t'es fagotté" J'ai horreur des costumes, je suis pour la décontraction.
3/J'aime les bonnes choses, je suis un tantinet épicurien, j'adore faire la cuisine, et la goûter surtout, et si on se tache de temps en temps ce n'est pas un problème... Ca se lave...mais faut pas gâcher.
Ce message est écrit par ce qu'on me traite de paresseux, ce qui est vrai, mais en fait je cherche un style qui irait au style blog, à ma personnalité, à mon âge vénérable , je ne suis pas un perdreau de l'année, et à mon immense culture !!!!! pas trouvé encore.
Il faut que j'arrête , "la mère" va rentrer et j'ai manqué à certains devoirs..
Drenière chose, la famille est la cellule de base et est indispensable.

jeudi 21 juin 2007

LE PLOMBIER

En cette douce matinée de la fête des Pères, la maison ABOTT vit dans le calme et la sérénité. Madame vaque à ses obligations personnelles, le fils récupère d'une nuit sans doute agitée, JOHN s'active en cuisine, c'est sa spécialité et son plaisir.

Tout à coup cette tranquilité va être rompue par John " Au secours, y a une fuite" Et de commencer à esponger mon bon Jacquoiulle" Il fallait bien finir le cycle de la machine à laver...donc on a espongé.

Après le repas, pas question de laver la vaisselle à la main, c'est indécent chez les Abott. Et donc il a fallu esponger... La fuite n'étant pas énorme la noyade a été évitée.

Madame Abott a déclaré , il va falloir faire quelque chose, on ne va pas rester sans lave-linge, ni lave vaisselle et accessoirement sans évier. John a déclaré " on verra ça demain" pas de panique.
Lundi midi, on a ressortit les belles assiettes en carton rouge Noël, les couverts et les gobelets en plastique, et on a commencé les pique-nique à table...Pas question de remplir le lave-vaisselle, pas question non plus de faire de la vaisselle.

Entre temps pour avoir un accès plus libre aux instestins en plastique, John avait voulu vider le dessous de l'évier. Excellente initiative , mais qui va causer des dommages collatéraux. En enlevant une tablette une bouteille de vinaigre de vin élevé en fût de chêne s'il vous plaît, à cru bon de s'autoriser une chute sur le carrelage et me voila donc à esponger encore et encore 75cl de vinaigre à l'arôme intensif...mais le matos pour esponger commence à faire défaut...

John avait ensuite jeté un oeil, sur l'objet du délit, il avait sué sang et eau pour sortir le lave-linge qui pése une tonne et qui est encastré dans un espace réduit, il s'est mis à quatre pattes, le derrière en l'air, pour atteindre la tuyauterie défectueuse et a pris la décision d'agir c'est à dire de verser du déboucheur dans les toyaux... Oui, mais y a pas de déboucheur en réserve. Donc une seul solution sortir son fidèle destrier appelé Mégane et aller en quérir au Croisement voisin. Chose décidée, chose faite.

Re-séance de à 4 pattes et derrière en l'air, versage du produit basique, mais la bouteille entière hein, on ne lésine pas chez les Abott., laissage le temps d'action, et essayage, mais catastrophe, un geyser sort du toyau. Qui dit geyser, dit espongeage...

Coup de fil à Madame, qui me dit qu'elle va me ramener un déboucheur mais un vrai, pas de la piquette ou de l'eau de perlin pinpin.

J'ai enfin le déboucheur que j'appellerai Zorro, ( qui était en réserve, mais que je n'avais pas vu)
remettage à 4 pattes, re derrière en l'air, et versage du produit. Je verse, ça bouillonne, l'acide prend à la gorge, j'en reverse, il faut ce qu'il faut....mais ça déborde, j'en reçois une giclée sur le petit doigt, il faut encore esponger, mais je n' ai plus rien... Je trouve une serviette de toilette qui attendait son billet pour faire un tour de machine, je la prends et esponge l'acide qui tombe: enfer et damnation, la serviette se transforme en gruyère, attaquée qu'elle est par l'acide, brûlee au troisième degré... Il faudra que j'explique tout celà au fils qui tenait à cette serviette, et qu'il ménageait avec soin...c'est encore ce que l'on appelle un dommage collatéral.

De nouveau réssayage, et de nouveau espongeage avec des torchons cette fois.
Tout a été essayé , mais en vain...il faut trouver un plombier...

D'abord j'appelle un dépanneur express que nous avions déja fait travaillé:
"Bonjour Monsieur, vous déjà intervenu chez nous, faites-vous la plomberie?
NON" terminé, celui-là faut pas le déranger durant sa sieste...

Autre appel:
répondeur" Booooonjoour, jeeee suuuiis laaaa seeecrééttaaire .."
Merci Madame, faudra vous réveiller...

Nouveau numéro:
La chance est avec moi, on me répond, ouf. Entreprise B. à votre service.
On me demande ce qui ne va pas, je ne peux que dire " c'est bouché, je ne sais pas pourquoi, et je n'ai plus d'eau dans la cuisine, il faudrait faire vite"
On me demande si je suis déjà client, je réponds non bien sûr.
Je luis dis que j'ai mis du déboucheur et du bon et elle me répond " Mais ca ne va pas, les déboucheurs font souvent plus de mal que de bien" In petto je me demande pourquoi on fabrique encore des produits qui produisent des effets désastreux..
Je la supplie à genoux ( j'en ai l'habitude depuis hier ) de m'envoyer quelqu'un, même un petit plombier polonais, je suis preneur, je prends aussi une plombière , c'est anormal que les maîtresses de maison recoivent des plombiers, et que jamais des plombières viennent au secours des maîtres de maison. Où est la parité?
Enfin devant ma détresse elle cède.
"Je vais vous envoyer quelqu'un". Je me confonds en remerciements.

Peu de temps après arrive le plombier"
" Vous êtes le messie"
"mais non je suis le plombier, je connais mon métier" Oups ça partait sur de mauvaises bases, on va éviter l'humour.
Il regarde et son diagnostic est terrible, votre installation,c'est de la daube, faut tout changer...,
"Vous vous rendez compte il y a 5 coudes entre l'évier et cette durite, on voit que le travail a été fait parc un cuisiniste " " ben oui, pardon monsieur"
"je ne peux pas le faire aujourd'hui, je suis attendu ailleurs, on vous le fera dans la semaine"
" S'il vous plaît, Monsieur, les Abott ont besoin d'eau, ils sont propres, n'aiment pas pique niquer dans leur salle à manger, maintenant que vous connaissez le chemin, revenez vite"
" on va voir, je vais en parler au patron"

Repique-niquage le soir...

Et mardi matin, la sonnerie du téléphone fixe me fait quitter mes activités ordinateuresques; je décroche:
- Je suis bien chez Monsieur Abott, vous êtes bien chez vous?
- Désolé, je suis parti ceuillir des ceps en fôret, mais je vous ouis.
- la maison B. vient faire votre dépannage, dans un petit moment.
Je remercie, congratule et j'attends.

Attente courte, et 2 plombiers arrivent.
L'un d'eux se met à 4 pattes le derrière en l'air et travaille, vite et bien, l'autre prépare les pièces, les lui tend, et une heure trente plus tard, l'affaire est terminée.
Je ne vous dis pas la liste du matériel utilisé....
Je remercie non pas le messie, mais mes sauveurs.
Au fond les plombiers sont sympas, enfin quand ils ont fini le travail et jusqu'à l'arrivée de la facture.
Mais tout est rentré dans l'ordre chez les Abott.

lundi 11 juin 2007

ET MON PAYS



Mon pays ce sont deux petits coins de terre à 400 bornes l'un de l'autre...Le premier c'est ma Vendée natale... Pur produit du bocage traditionnaliste, j'ai émigré vers la côte atlantique républicaine et débridée.

Le bocage vendéen fabrique des hommes attachés à la terre, tranquilles, bon vivants, à la réputation de têtus, obstinés, fiers. De vrais gaulois, mais attachés à la tradition.
La famille vendéenne est très soudée, les fratries sont indispensables à une vie sociale.

La potion magique qui rendait les vendéens invincibles s'appelait il y a longtemps " le Noah" vin blanc local qui contenanait parait-il un taux assez élevé d'éther, mais avant tout c'était leur fidélité à leur Dieu et leur roi ( mais c'est une autre histoire) .
Maintenant c'est la " Troussepinette" sorte d'apéritif fait avec du jus de raisin,un peu d'eau de vie et une certaine épine que l'on met à macérer... Les jeunes préfrèrent désormais les boissons plus courantes... et plus efficaces




Puis ce fut l'émigration aux Sables, ville estivale par excellence.
Même pour les résidents à l'année,
il y règne une ambiance de fête.
Il y a toujours du monde sur le remblai, les terrasses des cafés, été comme hiver vous invitent à vous asseoir face à la mer et à regarder le magnifique spectacle sans cesse changeant et recommencé.
Il y a aussi la côte sauvage où il fait bon se promener par tous les temps, en humant l'iode vivifiante. Et je ne parle pas des fruits de mer en toute saisson...Aux Sables on vit toujours bien, sans stress, avec de la mer plein les yeux...

Mais aimer les Sables ne m'empêche pas de revenir dans le bocage retrouver mes racines, ma fratrie et mon patois vendéen que je parle toujours, au grand dam de ma tendre et chère.
deuxième point d'ancrage: BOURGES


Cathédrale Palais Jacques Coeur Les Marais


Mon deuxième port d'attache, c'est Bourges. Bourges n'a pas une réputation d'une ville très vivante, c'est vrai que le soir en dehors du ¨Printemps de Bourges" c'est calme. Bourges est une ville à taille humaine. Bourges c'est surtout un passé culturel énorme.

Venez à Bourges, vous verrez la plus belle cathédrale de France après Amiens ( avis personnel), vous serez séduit par la hardiesse de son architecture, ses dentelles de pierre, ses vitraux , sa luminosité exceptionnelle.Le Palais Jacques Coeur et les vieux quartiers vous raviront, avec les maisons à pans de bois qui valent le détour.
Et la nuit vous pourrez suivre un chemin de lumière qui vous fera découvrir toutes ces merveilles.

Vous pourrez vous promener dans les jardins des marais de Bourges... Et si vous vous voulez vous faire admirer par les badauds, un petit tour de ville en petit train vous permettra de vous faire applaudir ( réservé aux rhumatisants et à ceux qui ne craignent pas le ridicule, ou pour s'éclater entre copains).

Le Berry c'est aussi de magnifiques balades en forêt, des cépes. Et surtout n'oublions pas le Sancerre,un petit tour dans le caves de la Mignonne ça se mérite..le Pouilly Fumé ( j'ai des adresses),Mennetou... Que de bonnes choses.Le Berry il faut savoir le découvrir...

Mais rien ne supplentera un autre pays,
un autre continent, d'autres plages
encore plus belles, d'autres visages,
une rencontre magnifique,
qui resteront à jamais au plus profond
de moi.

Plage africaine. laquelle?





















jeudi 7 juin 2007

J'AI DEUX AMOURS

J'ai deux amours,en dehors de celles qui me sont essentielles: celle qui partage ma vie de puis 26 ans et bien sur Ahsley et ses deux frères.C'est la base, les fondations...

Cette chanson " j'ai deux amours" me trotte dans la tête depuis quelques jours (je ne sais pas pourquoi) et c'est devenu tellemment obsessionnel qu'il faut que je la jette...
J'ai deux amours Mon Pays et Paris.

Pour mon pays on verra plus tard...
Paris je n'aime pas... Je suis un provincial et heureux de l'être, mais j'ai l'impression d'être un zombie dans Paris.

Paris ce sont des humanoïdes qui courent dans tous les sens, qui ne se déplacent qu'en troupeau, qui ont tous la mine renfrognée, pas de sourire, on court, on se presse, on s'agglutine dans des boites souterraines roulantes qui puent grave.

Et puis il y a plein de magasins tous plus beaux, plus attrayants les uns que les autres, et je laisse volontiers le shopping à ceux qui aiment et s'en délectent.
Paris la course, non, Paris métro non ou le moins possible.

En revanche,j'aimerais vagabonder dans Paris, le nez au vent, marcher tranquillement regarder, admirer... Voir quelques musées, mais sans stresser : les arts premiers (pour l'originalité architecturale du musée et les oeuvres exposées). Le Louvre bien sur, en ciblant une époque, un peintre...etc. Doucement, tranquillement...

J'aime ressentir la vie d'un quartier typique, comme Montmarte, m'installer à la terrasse d'un café et comptempler, m'imprégner de l'ambiance... et prendre quelques photos.
J'ai deux amours, Paris et Mon Pays, mais "je ne suis pas parisienne", et ca ne me stresse pas du tout.

Prochain épisode: pouroui j'aime mon pays et quel pays





mardi 5 juin 2007

BUFFET DEMOCRATE

En cette période pré électorale, je viens de recevoir une ( très belle) invitation à aller entendre le candidat de ma circonscription qui veut faire de moi un de ses aficionados, il est mal tombé , j'ai horreur des réunions politiques, ça ne sert à rien d'aller écouter des discours dont on connait à l'avance le contenu... Et puis je suis assez grand garçon pour connaître mes opinions politiques, opinions forgées par de nombreux vagabondages.
Dans cette invitation mon attention a été retenue par ces quelques mots " Soirée suivie d'un buffet DEMOCRATE" Buffet démocrate, qu'est-ce qu'un buffet démocrate?
Des buffets j'en ai connu un certain nombre et le mien que je me suis fabriqué moi-même en témoigne clairement, mais des démocrates jamais.
Buffet à volonté: dans certains restaurants ou la quantité prime sur la qualité, pour les goinfres qui veulent ingurgiter de la nourriture pour pas cher. A déconseiller au gourmets.Mais çà peut rendre service quand on connaît des moments désargentés.
Buffet campagnard: sous les frondaisons d'un chêne centenaire (de préférence) au bord d'un étang, tu dresses une grande table, des planches de bois posées sur des trétaux, une jolie nappe blanche en papier, et là tu parsèmes cette table de quelques fleurs coupées dans le prè, marguerites, pavots etc.. et tu garnis cette table. A chaque extrémité tu mets un barricot de vin blanc ou rouge, avec les pichets qui vont avec et les verres en plastique. quelques bouteilles d'eau, ou de jus de fruit et puis au mileu le jambon entier avec un couteau affûté, où chacun ira s'en payer une tranche à volonté ( toujours prévoir une petite trousse de secours) et de chaque coté on dépose les terrines de lapin de sanglier,le poulet froid, les chips,les cornichons, les moutardes etc... sans oublier les assiettes en carton et les outils qui vont avec, et tu ouvres le bal....Ca se passe dans une chaude ambiance, sans chichi, on parle de tout et de rien et surtout on rit, Ca peut durer des heures jusqu'à la nuit tombée si tu commence à midi. Mais on est bien ensemble, on vit bien on peut faire une petite sieste, on peut même sortir le crin-crin et l'accordéon et s'octroyer un quadrille ou un en avant-deux.C'est la fête toute simple.Dans quelque temps un des invités rendra la pareille. J'adorais.
Buffet mondain: paradis des pique-assiette, il faut s'y montrer, s'y faire remarquer, se rapprocher le plus possible du buffet, s'y scotcher, pour ne pas en perdre une miette et une goutte, les pinces -fesses ont toute leur chance dans ce ce que l'on appelle des coquetails. Merci pour moi.
Buffet républicain: Liberté égalité, fraternité ( avec ou sans choucroute) chacun apporte sa quote-part, la met en commun, et tous en profitent que tu aies ou non fourni les denrées à déguster, ce n'est pas forcément de bonne qualité, mais c'est convivial, et sans prétention. Quand on aime partager avec des inconnus à consommer sans modération.
Buffet démocrate:J'essaye d'imaginer: une grande, immense salle , avec à chaque extrémité un table remplie de victuailles alléchantes. Au milieu de la salle des démocrates qui commencent à fatiguer , ils ont mal aux fessiers car ils écoutent des blablabla depuis 2 heureset ils attendent le buffet promis, ils ont faim.
Enfin on annonce "le buffet démocrate est ouvert".
Deux possibilités
  1. je regarde à gauche, je regarde à droite, tout me tente à droite, tout me tente à gauche. Que choisir? j'hésite , j'hésite encore et encore, un petit pas à droite, un petit pas à gauche , je ne sais où aller puiser mon énergie, puis quand mon choix est fait je me précipite, mais la table que j'ai choisie enfin à gauche est vide, je cours vers celle de droite, elle a été dépouillée aussi, je pars le ventre et la tête vides.
  2. Je me précipite vers la table de gauche je me sers en saumon fumé, mais un des convives me dit que la table de droite offre un jambon de bayonne de derrière les fagots, j'cours, mais on m'avertit que le vin servi à gauche est une pure merveille, j'y reviens, à droite une salade, humm! comme les autres convives je cours d'une table à l'autre, ne prends même pas le temps de déguster les mets succulents que j'ai choisis, il faut que je prenne ce qu'il y a de meilleur sur l'une et l'autre table, alors je mélange tout dans mon assiette. Quand les tables ont vides, on peut manger, mais cet amas de nourriture si appétissante sur les tables est denevu un repoussoir... un désastre, elle est sans saveurn mais pas inodor. j'abandonne, je pars.

Pauivre buffet démocrate.

dimanche 3 juin 2007

INTRODUCTION

Le vagabond n'est pas un SDF, mais quelqu'un qui va au gré de ses humeurs, qui s'arrête selon ses désirs, qui regarde, savoure, critique, applaudit, selon son humeur, et qui veut partager ses découvertes, ses sensations.
Le vagabond peut se déplacer localemnt, il peut aussi voyager dans ses souvenirs, par son imagination, et se projetter dans le futur. Tout lui est possible, tout lui est permis.
Ces vagabondages seront en fait des billets d'humeur écrits en fonction des rencontres, des évènements, des lectures, des goûts personnels .
C'est Ashley ma fille qui m'a poussé à blogger... http://ashleyandr.blogspot.com J'espère qu'elle ne sera pas déçue.